Baisse du taux d'inoccupation à l'Ile-du-Prince-Edouard


HALIFAX, NOUVELLE-ÉCOSSE--(Marketwired - 16 déc. 2014) - Le taux d'inoccupation moyen des appartements locatifs(1) dans les centres urbains(2) de l'Île-du-Prince-Édouard se situait à 5,4 % en octobre 2014, en baisse par rapport à celui de 7,1 % enregistré en octobre 2013. C'est ce que révèlent les résultats de l'Enquête sur les logements locatifs (ELL) de l'automne diffusés aujourd'hui par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).

« Le taux d'inoccupation a régressé à Charlottetown à la suite d'une importante diminution de l'offre d'appartements locatifs neufs et d'une augmentation de l'immigration au cours de la dernière année, a déclaré Alex MacDonald, économiste régional au Centre d'affaires de l'Atlantique de la SCHL. Les taux d'inoccupation étaient différents dans les deux centres urbains de la province. À Summerside, le pourcentage de logements vacants était globalement plus faible (3,1 %), tandis que celui à Charlottetown était un peu plus élevé (5,9 %). »

Dans les immeubles faisant partie de l'univers qu'ont en commun les enquêtes de 2013 et de 2014(3), le loyer moyen des logements de deux chambres n'a augmenté que de 0,7 % dans la province. Le loyer moyen des logements de deux chambres a atteint 836 $ à Charlottetown et 747 $ à Summerside.

Pour consulter les données sur le marché locatif, en français ou en anglais, veuillez cliquer sur le lien suivant : Rapports sur le marché locatif - Automne.

En tant qu'autorité en matière d'habitation au Canada, la SCHL contribue à la stabilité du marché du logement et du système financier, elle vient en aide aux Canadiens dans le besoin et elle fournit des résultats de recherches et des conseils objectifs aux gouvernements, aux consommateurs et au secteur de l'habitation.

Suivez la SCHL sur Twitter @SCHL.ca.

Données supplémentaires disponibles sur demande

(Also available in English)

(1) L'Enquête sur les logements locatifs porte sur les immeubles d'initiative privée comptant au moins trois appartements locatifs.
(2) Un centre urbain compte au moins 10 000 habitants.
(3) Comparer, d'année en année, les loyers moyens des logements neufs et existants confondus peut mener à des conclusions légèrement trompeuses, car les unités neuves ont tendance à se louer plus cher que celles de construction moins récente. En excluant les immeubles neufs pour ne garder que les immeubles existants qu'ont en commun l'Enquête d'octobre 2013 et celle d'octobre 2014, il est possible de se faire une meilleure idée de l'augmentation réelle qu'ont assumée les locataires.

Pour voir le tableau associé à ce communiqué de presse, veuillez visiter le lien suivant : http://media3.marketwire.com/docs/984266f_tableau.pdf.

Renseignements:

Centre d'analyse de marché
Alex MacDonald
902-426-8964
902-483-9483 (cell.)
amacdona@schl.ca

Relations avec les médias
Caroline Arsenault
902-426-8127
902-452-4448 (cell.)
cmarsena@schl.ca