L'analyse environnementale finale démontre que Keystone XL devrait être approuvé


CALGARY, ALBERTA--(Marketwired - 1 fév. 2014) - TransCanada Corporation (TSX:TRP)(NYSE:TRP) (TransCanada) a salué la dernière analyse environnementale du Département d'État (DOS) relative à l'oléoduc Keystone XL. Les conclusions du rapport sont conformes aux résultats contenus dans plus de 15 000 pages d'analyse scientifique détaillée dans quatre précédentes analyses environnementales de Keystone XL datant du printemps 2010.

« L'analyse environnementale de Keystone XL publiée aujourd'hui soutient une fois de plus l'hypothèse selon laquelle l'impact environnemental de cet oléoduc serait minimal », a déclaré Russ Girling, président et chef de la direction de TransCanada. « La prochaine étape sera la prise de décision à propos d'un permis présidentiel pour Keystone XL. Je suis convaincu que ce projet continue de servir l'intérêt national des États-Unis pour deux principales raisons : le soutien de la sécurité énergétique des États-Unis et les milliers d'emplois que notre projet de plusieurs milliards de dollars va créer ».

M. Girling a ajouté que, selon l'Agence d'information sur l'énergie des États-Unis et l'Agence internationale de l'énergie, les États-Unis devront continuer d'importer des millions de barils de pétrole chaque jour pour répondre à leurs propres besoins, et ce pendant des décennies.

« Il est donc tout à fait logique qu'une part plus importante de cet approvisionnement provienne d'ici-même en Amérique du Nord », a ajouté M. Girling. « Alors faisons-le ; il est temps de mettre fin à plus de cinq ans d'examens réglementaires et de mettre en œuvre cette nouvelle pièce maîtresse de l'infrastructure énergétique en Amérique du Nord ».

La déclaration finale supplémentaire sur l'impact environnemental publiée aujourd'hui tire les conclusions suivantes :

  • Il est « peu probable que Keystone XL ait une incidence significative sur le taux d'extraction dans les sables bitumineux, ou sur la demande soutenue de pétrole brut lourd dans les raffineries aux États-Unis, sur la base des prix du pétrole attendus, des coûts d'approvisionnement des sables bitumineux, des coûts du transport et des scénarios d'offre et de demande ».
  • Le rail, ainsi que des pétroliers et d'autres solutions de rechange d'oléoducs existent pour transporter le pétrole brut du bassin sédimentaire de l'Ouest canadien et de la région de Bakken vers les raffineries de la côte du golfe du Mexique. Toutes les autres alternatives à Keystone XL sont des méthodes moins efficaces de transport du pétrole brut, qui entraînent beaucoup plus d'émissions de gaz à effet de serre, de déversements et de risques pour la sécurité publique.
  • L'incorporation de 59 conditions particulières et de douzaines d'autres mesures supplémentaires de prévention des déversements et d'atténuation veillera à ce que Keystone XL « ait un niveau de sécurité supérieur à tout autre réseau domestique d'oléoducs construit sous le code en vigueur ».
  • Keystone XL générera environ 42 100 emplois directs, indirects ou induits et environ 2 milliards de dollars de revenus dans l'ensemble des États-Unis. Il devrait contribuer à hauteur d'environ 3,4 milliards de dollars au produit intérieur brut des États-Unis et fournir une augmentation substantielle des recettes fiscales pour les comtés situés le long du tracé de l'oléoduc, avec 17 des 27 comtés s'attendant à voir les recettes fiscales augmenter de 10 pour cent ou plus.

Les Américains continuent de soutenir Keystone XL. Au cours des trois dernières années, plus de 15 sondages ont montré que la majorité des Américains de tous horizons politiques soutiennent le projet Keystone XL. En septembre 2013, un sondage réalisé par l'impartial Pew Research Center a indiqué que 65 pour cent des Américains continuent d'être en faveur de la construction de l'oléoduc Keystone XL.

« Ce sont les producteurs et les raffineurs nord-américains qui ont demandé à TransCanada de construire Keystone XL et de connecter leurs raffineries aux champs pétrolifères du Canada et des États-Unis », a déclaré M. Girling. « Ils ont besoin du pétrole de ce réseau d'oléoducs pour créer les produits dont nous avons tous besoin : le carburant pour nos véhicules, le chauffage et la climatisation pour nos maisons, le diesel pour les tracteurs agricoles et les équipements lourds, et des milliers de produits de consommation fabriqués à partir de dérivés du pétrole. »

M. Girling a ajouté que Keystone XL n'estt « pas une question d'énergie contre environnement, mais la question est plutôt de savoir d'où les Américains veulent que leur pétrole provienne. Keystone XL va déplacer le pétrole lourd de sources telles que le Moyen-Orient et le Venezuela, et parmi les cinq principales régions depuis lesquelles les États-Unis importent leur pétrole, seul le Canada dispose d'une solide réglementation en matière de gaz à effet de serre. »

Keystone XL est actuellement le projet d'infrastructure le plus important à l'étude aux États-Unis et bénéficiera aux familles américaines et à l'économie des États-Unis. En plus des 9000 emplois qui seraient créés par la construction de Keystone XL, les sous-traitants locaux et les entreprises locales dans les comtés le long du tracé de l'oléoduc seraient aussi gagnants : restaurants, hôtels, grands magasins, vendeurs de pneus… la liste est longue.

À ce jour, TransCanada a signé des contrats pour Keystone XL avec plus de 50 fournisseurs à travers les États-Unis et a investi plus de 2 milliards de dollars pour acheter du matériel et des services connexes pour les éléments allant des tubes en acier et des milliers de vannes et de raccords, aux transformateurs et aux moteurs électriques pour les stations de pompage et au câblage et au matériel électrique destiné à relier nos vastes systèmes de surveillance d'oléoducs.

M. Girling a déclaré que la première priorité de TransCanada serait de s'assurer que l'oléoduc soit l'un des oléoducs les plus sûrs et les plus avancés technologiquement en Amérique du Nord. « Aucune autre entreprise n'a accepté de coopérer avec toutes les procédures supplémentaires de sécurité et d'exploitation, à l'exception de TransCanada » a-t-il dit. « Cela en dit long sur notre engagement à minimiser l'impact de notre oléoduc et, au final, sur l'environnement et les communautés qu'il traversera. »

L'oléoduc Keystone existant de TransCanada a, en toute sécurité et de manière fiable, livré plus de 550 millions de barils de pétrole brut en provenance du Canada aux marchés de raffinage du Midwest américain depuis le début de sa mise en service en juillet 2010.

Avec plus de 60 ans d'expérience, TransCanada est un leader du développement responsable et de l'exploitation fiable d'infrastructures énergétiques en Amérique du Nord, y compris le gaz naturel et les oléoducs, la production d'électricité et les installations de stockage de gaz. TransCanada exploite un réseau de gazoducs de gaz naturel qui s'étend sur plus de 68 500 km (42 500 milles), puisant dans presque tous les grands bassins d'approvisionnement gazier d'Amérique du Nord. TransCanada est l'un des plus importants fournisseurs d'installations de stockage de gaz et de services connexes du continent, avec plus de 400 milliards de pieds cubes de capacité de stockage. Producteur d'énergie indépendant en expansion, TransCanada possède ou a des intérêts dans plus de 11 800 mégawatts de production d'électricité au Canada et aux États-Unis. TransCanada est en train de développer l'un des plus grands réseaux de transport de pétrole en Amérique du Nord. Les actions ordinaires de TransCanada sont cotées sur les bourses de Toronto et de New York sous le symbole TRP. Pour plus d'information, visitez notre site : www.transcanada.com ou suivez-nous sur Twitter@TransCanada ou http://blog.transcanada.com.

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