Le ministre Paradis se réjouit de recevoir le rapport de l'Examen de l'aérospatiale


OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 29 nov. 2012) - Le ministre de l'Industrie, l'honorable Christian Paradis, s'est réjoui de recevoir aujourd'hui le rapport de l'Examen des programmes et des politiques de l'aérospatiale et de l'espace. Cet examen indépendant approfondi avait été lancé par le gouvernement Harper le 27 février 2012. Le chef de l'Examen, l'honorable David L. Emerson, était appuyé par un conseil consultatif composé de Mme Sandra Pupatello, de M. Jim Quick et de M. Jacques Roy.

« Je tiens à remercier M. Emerson, les membres du conseil consultatif ainsi que l'Association des industries aérospatiales du Canada, qui n'ont ménagé aucun effort pour mener à bien ce projet, a déclaré le ministre Paradis. Notre gouvernement passe aux actes pour que le Canada demeure à l'avant-plan de l'industrie aérospatiale mondiale. J'étudierai attentivement les recommandations présentées dans le rapport. »

Les industries canadiennes de l'aérospatiale et de l'espace sont hautement concurrentielles et sont des acteurs économiques de premier ordre. La production du secteur canadien de l'aérospatiale se classe au cinquième rang mondial, tandis que sa production d'aéronefs civils occupe le troisième rang dans le monde. Cette industrie est également bien intégrée aux chaînes de valeur mondiales. Le Canada abrite plusieurs grappes de l'aérospatiale situées notamment à Montréal, à Toronto et à Winnipeg. En fait, Montréal est le troisième carrefour de l'aérospatiale en importance au monde. De son côté, le secteur canadien de l'espace est un chef de file en recherche et en innovation de pointe. Cette industrie a su miser sur les investissements dans le savoir pour acquérir un avantage international dans plusieurs créneaux, dont la robotique et les communications par satellite.

« Les emplois, la croissance et la prospérité à long terme demeurent la priorité de notre gouvernement, a ajouté le ministre Paradis. Le Canada est un leader mondial de l'aérospatiale et de l'espace. Nous sommes déterminés à aider ce secteur à croître et à créer des emplois qui s'ajouteront aux quelque 160 000 emplois directs, indirects et connexes qui en dépendent. »

Pour en savoir plus au sujet de l'Examen des programmes et des politiques de l'aérospatiale et de l'espace, veuillez consulter le site Web de l'Examen (www.examenaerospatiale.ca).

Fiche d'information

Appui du gouvernement Harper aux industries canadiennes de l'aérospatiale et de l'espace

Le gouvernement Harper est un ardent défenseur des industries canadiennes de l'aérospatiale et de l'espace, et agit pour faire en sorte que notre pays demeure concurrentiel. Le Canada abrite plusieurs grappes de l'aérospatiale, qui regroupent des fabricants d'équipement d'origine et des fournisseurs primaires de renom ainsi que de petites et moyennes entreprises (PME) spécialisées dans des activités commerciales de pointe hautement qualifiées. Le Canada a aussi su bâtir un fier héritage dans le domaine de l'exploration spatiale, en misant sur les investissements dans le savoir pour acquérir un avantage international dans plusieurs créneaux, dont la robotique, l'observation de la Terre et les communications par satellite.

  • Depuis 2006, le gouvernement Harper a investi 8 milliards de dollars en argent frais pour appuyer les sciences, la technologie et la croissance des entreprises novatrices.
  • Par l'entremise de l'Initiative stratégique pour l'aérospatiale et la défense, le gouvernement Harper soutient les entreprises canadiennes de l'aérospatiale qui cherchent à devenir plus novatrices et compétitives. Cet appui se traduit par le versement de contributions remboursables qui permettent aux compagnies de mettre au point des technologies de pointe, d'attirer et de retenir une main-d'œuvre hautement qualifiée et de collaborer avec des universités et des collèges. Jusqu'à présent, le gouvernement s'est engagé à verser 827 millions de dollars pour financer 26 projets de recherche-développement (R-D) de pointe.
  • Le gouvernement Harper a appuyé la R-D et a investi dans l'innovation au Canada en versant une contribution remboursable de 350 millions de dollars au programme CSeries de Bombardier, un projet d'avant-garde.
  • Dotés d'un budget annuel de 58 millions de dollars, les cinq laboratoires d'aérospatiale du Conseil national de recherches du Canada (CNRC) travaillent au développement de nouvelles technologies en collaboration avec des chercheurs de l'industrie et des universités. De plus, le Programme d'aide à la recherche industrielle du CNRC concentre ses efforts pour aider les PME à mettre en valeur leur potentiel d'innovation en leur offrant des conseils techniques et de gestion, du financement et des occasions de réseautage. Ce programme investit environ 24 millions de dollars par année dans des projets liés à l'aérospatiale.
  • Le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) verse des subventions et finance des chaires de recherche auxquelles les entreprises des secteurs de l'aérospatiale et de l'espace font fréquemment appel. Les projets du CRSNG permettent à des étudiants de travailler sur des projets de pointe dans le domaine de l'aérospatiale et les mettent en contact plus tôt avec des employeurs potentiels. En 2011-2012, le CRSNG a versé quelque 20 millions de dollars en appui à la recherche aérospatiale.
  • Le gouvernement Harper met à profit ses acquisitions de défense et de sécurité pour faire en sorte que l'industrie canadienne profite des chaînes de valeur existantes et émergentes. La Politique des retombées industrielles et régionales (RIR) exige que les maîtres d'œuvre à qui sont attribués ces contrats effectuent dans l'économie canadienne des investissements correspondant à 100 % de la valeur du contrat conclu. À l'heure actuelle, plus de 60 projets d'acquisition majeurs sont assujettis à cette politique, générant plus de 22 milliards de dollars en retombées industrielles et régionales.
  • En ce qui concerne plus particulièrement l'appui au secteur spatial, le Plan d'action économique de 2012 a confirmé que le Canada continuera de participer au programme de la Station spatiale internationale jusqu'en 2020, ce qui nous permettra de maintenir notre leadership en recherche spatiale.
  • De plus, le budget de 2010 a alloué 497 millions de dollars à la mission de la Constellation RADARSAT, tandis que le budget de 2009 a accordé 110 millions de dollars au développement de systèmes robotiques spatiaux.

Renseignements:

Margaux Stastny
Directrice des communications
Cabinet de l'honorable Christian Paradis
Ministre de l'Industrie
613-995-9001

Relations avec les médias
Industrie Canada
613-943-2502