Marché locatif de Thunder Bay en octobre 2014

THUNDER BAY, ONTARIO--(Marketwired - 16 déc. 2014) - Le taux d'inoccupation moyen des appartements locatifs(1) dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Thunder Bay est demeuré relativement stable en octobre 2014, pour s'établir à 2,3 %. C'est ce que révèlent les résultats de l'Enquête sur les logements locatifs (ELL) réalisée à l'automne 2014 par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).

« L'augmentation du nombre d'inscriptions d'étudiants étrangers et le vieillissement de la population soutiennent la demande de logements locatifs, alors que la faiblesse persistante des taux hypothécaires rend l'accession à la propriété intéressante. Souvent, les personnes plus âgées se tournent vers le marché locatif qui constitue une solution qui répond à leurs besoins en matière de logement. La demande accrue de logements locatifs est en partie satisfaite par les ensembles de forte densité qui comprennent des appartements expressément construits pour le marché locatif ou des logements en copropriété offerts en location », a déclaré Warren Philp, analyste de marché au bureau de la SCHL à Thunder Bay.

Dans les immeubles faisant partie de l'univers qu'ont en commun les enquêtes de 2013 et de 2014(2), le loyer moyen des appartements de deux chambres a progressé de 3,9 % à Thunder Bay.

Seuls les logements de deux chambres ont vu leur taux d'inoccupation augmenter à Thunder Bay entre les enquêtes menées en octobre 2013 et en octobre 2014, qui est passé de 1,8 à 2,1 %. Quant aux studios et aux logements de une chambre, leur proportion d'unités vacantes a diminué. Les loyers les plus élevés de Thunder Bay ont été relevés dans le secteur Nord (zone 1), qui représente aussi la partie de la ville où les logements locatifs sont les plus prisés et, par conséquent, où le taux d'inoccupation est le plus bas.

Pour consulter les données sur le marché locatif, en français ou en anglais, veuillez cliquer sur le lien suivant : Rapports sur le marché locatif - RMR.

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(1)L'Enquête sur les logements locatifs porte sur les immeubles d'initiative privée comptant au moins trois logements locatifs.

(2)Comparer, d'année en année, les loyers moyens des logements neufs et existants confondus peut mener à des conclusions légèrement trompeuses, car les unités neuves ont tendance à se louer plus cher que celles de construction moins récente. En excluant les immeubles neufs pour ne garder que les immeubles existants qu'ont en commun les univers des enquêtes d'octobre 2013 et d'octobre 2014, il est possible de se faire une meilleure idée de l'augmentation réelle qu'ont subie les locataires.

Données supplémentaires disponibles sur demande

(Also available in English)

Un tableau est disponible à l'adresse suivante : http://media3.marketwire.com/docs/984222f.pdf