Marché locatif du Nouveau-Brunswick en octobre 2013

MONCTON,, NOUVEAU-BRUNSWICK--(Marketwired - 12 déc. 2013) - Le taux d'inoccupation moyen des appartements locatifs¹ dans les centres urbains² du Nouveau-Brunswick se situait à 8,9 % en octobre 2013, en hausse par rapport à celui de 6,9 % enregistré en octobre 2012. C'est ce que révèlent les résultats de l'Enquête sur les logements locatifs (ELL) de l'automne diffusés aujourd'hui par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).

« L'offre de logements locatifs étant plus forte que la moyenne sur certains marchés de la province, conjuguée à un recul de la demande par suite d'une émigration accrue, s'est soldée par une hausse des taux d'inoccupation dans la plupart des centres urbains du Nouveau-Brunswick », a déclaré Claude Gautreau, analyste principal de marché à la SCHL pour le Nouveau-Brunswick.

Dans les immeubles faisant partie de l'univers qu'ont en commun les enquêtes de 2012 et de 2013³, le loyer moyen des logements de deux chambres a augmenté de 1 % au Nouveau-Brunswick. Globalement, le loyer moyen dans les centres urbains a progressé de 0,8 %, l'accroissement de l'offre ayant limité les pressions à la hausse s'exerçant sur les loyers mensuels.

Le taux d'inoccupation le plus faible de la province a été enregistré à Miramichi (3,6 %) et le plus haut, à Bathurst (11,8 %). Campbellton est le seul centre urbain de la province à avoir affiché un taux d'inoccupation plus bas que celui de l'an dernier.

Pour consulter les données sur le marché locatif, en français ou en anglais, veuillez cliquer sur le lien suivant : Rapports sur le marché locatif - Automne.

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¹L'Enquête sur les logements locatifs porte sur les immeubles locatifs d'initiative privée comptant au moins trois logements.

²Un centre urbain compte au moins 10 000 habitants.

³Comparer, d'année en année, les loyers moyens des logements neufs et existants confondus peut mener à des conclusions légèrement trompeuses, car les unités neuves ont tendance à se louer plus cher que celles de construction moins récente. En excluant les immeubles neufs pour ne garder que les immeubles existants qu'ont en commun les univers des enquêtes d'octobre 2012 et d'octobre 2013, il est possible de se faire une meilleure idée de l'augmentation réelle qu'ont subie les locataires.

Données supplémentaires disponibles sur demande.

(Also available in English)

Un tableau est disponible à l'adresse suivante : http://media3.marketwire.com/docs/917256_table_fre.pdf