Stabilité du taux d'inoccupation en Nouvelle-Ecosse

HALIFAX, NOUVELLE-ÉCOSSE--(Marketwired - 15 juin 2015) - Le taux d'inoccupation moyen des appartements locatifs¹ dans les centres urbains² de la Nouvelle-Écosse se situait à 4,6 % en avril 2015, un taux presque inchangé par rapport à celui d'avril 2014. C'est ce que révèlent les résultats de l'Enquête sur les logements locatifs du printemps diffusés aujourd'hui par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).

« Les taux d'inoccupation sont demeurés stables dans la plupart des centres urbains de la Nouvelle-Écosse ce printemps, a déclaré Alex MacDonald, économiste régional du Centre d'affaires de l'Atlantique de la SCHL. À Halifax, la croissance relativement forte de la population aux troisième et quatrième trimestres a maintenu le taux d'inoccupation statistiquement inchangé au printemps, à 4,2 %. À New Glasgow, en dépit du nombre peu élevé de logements construits l'an dernier, le taux d'inoccupation s'est établi à 9,0 % en avril ».

À Truro, le taux d'inoccupation s'est rapproché de sa moyenne sur cinq ans, passant de 7,4 % à 6,2 %, tandis que dans la subdivision A de Kings, il est demeuré à 1,5 %. Au Cap-Breton, il a progressé à 7,5 %, alors qu'à Kentville, il est demeuré statistiquement inchangé, à 5,6 %.

Dans les immeubles faisant partie de l'univers qu'ont en commun les enquêtes de 2014 et de 2015³, le loyer moyen des logements de deux chambres a monté de 1,8 % en Nouvelle-Écosse et à Halifax.

À Halifax, les unités de deux chambres se louaient en moyenne 1 035 $ par mois en avril 2015. East Hants arrivait au deuxième rang avec un loyer mensuel moyen de 846 $, suivie de Truro où celui-ci se chiffrait à 789 $.

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Rapports sur le marché locatif – Printemps

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¹ L'Enquête sur les logements locatifs porte sur les immeubles d'initiative privée comptant au moins trois logements locatifs.

² Un centre urbain compte au moins 10 000 habitants.

³ Comparer, d'année en année, les loyers moyens des logements neufs et existants confondus peut mener à des conclusions légèrement trompeuses, car les unités neuves ont tendance à se louer plus cher que celles de construction moins récente. En excluant les immeubles neufs pour ne garder que les immeubles existants qu'ont en commun les univers des enquêtes d'avril 2014 et d'avril 2015, il est possible de se faire une meilleure idée de l'augmentation réelle qu'ont subie les locataires.

Données supplémentaires disponibles sur demande.

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